Les idées reçues sur le portage salarial

Comme pour tout ce qui est plus ou moins nouveau, beaucoup de personnes parlent du portage salarial de manière approximative ou même parfois de manière complètement erronée. Avec APSAL, on tord le cou aux idées reçues !

Le portage salarial, c’est pareil que l’intérim

Le portage salarial, ça coûte trop cher

Comme pour toute activité salariée, des charges salariales et patronales sont prélevées en France. Elles correspondent aux cotisations santé, chômage, retraite… et ne sont pas plus élevées en portage qu’ailleurs.

Il n’existe pas d’indemnisation chômage en portage salarial

C’est une idée préconçue et totalement fausse. Le régime de salarié porté n’entraîne pas le non-paiement des indemnités chômage en cas de cessation de l’activité puisque lorsque vous cotisez à l’assurance chômage dans le cadre du portage salarial. Un consultant en portage salarial bénéficie du statut salarié et à ce titre possède les mêmes droits qu’un salarié du secteur privé. Lire aussi l’article “Peut-on cumuler indemnités chômage et missions en portage salarial ?” de notre foire aux questions sur le portage salarial.

Le portage salarial est uniquement réservé aux cadres

Bien que particulièrement adapté aux consultants disposant, d’expérience, et, de maturité professionnelle, le portage salarial est accessible à toute personne désireuse d’autonomie. Il n’est absolument pas nécessaire d’être cadre pour travailler en portage. Chez APSAL, nous comptons de nombreux corps de métiers (artisans, coiffeuses, informaticiens, artistes, rédacteurs…)

Le portage salarial, c’est réservé aux jeunes ou aux débutants

C’est absolument faux. N’importe qui dont le niveau d’expertise est suffisant pour lui permettre de trouver des clients et des missions par lui-même peut travailler en portage salarial. Senior ou étudiants, vous êtes tous les bienvenus !